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23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 23:30
VOICI COMMENT SE SONT DEROULE LES FAITS
 

BASEKE BOTIKALA Daniel est propriétaire d’un appartement sise n°41 rue du Progrès dans la commune de saint-Josse au 3éme étage, non loin de la place Rogier. Un certain juge dénommé DEBRY prétendant être le nouveau propriétaire dudit appartement sans en posséder le titre (document), mais avec la complicité du notaire Marcelis et d’un huissier de justice, apprend à BASEKE BOTIKALA Daniel par une voie non indiquée  qu’il va être expulsé de son appartement.

A la date prévue c'est-à-dire le lundi 20 août 2007 des policiers débarquent chez lui accompagnés du « fameux » propriétaire le juge DEBRY pour l’expulser.

Cet escadron à la « gestapo » ne produit aucun titre de propriétaire ni un jugement du juge de Paix comme prescrit par la Loi belge. Refusant d’office d’écouter  BASEKE, ils le « chassent » illico de l’appartement.

Un Procès Verbal (PV) et BASEK Daniel choisit d’obtemper afin d’éviter l’interaction inéluctable face à des policiers visiblement décidés à « rentrer dans du lard ».

Quelques temps après le départ de l’escadron, BASEKE BOTIKALA Daniel revient chez lui  croyant tranquillement y entrer, trouve la porte bloquée. Le jour d’après du 21 août 2007 BASEKE y retourne encore et décide finalement de casser cette porte et y entre. Vers 22 heures, il y est rejoint par ALHONGO tous deux membres très actifs de « WALLEN BUITTEN VAN CONGO» et combattants pour la délivrance totale du Congo de la domination étrangère, philosophie chère à Mariyus NOKO NGELE.

Tout d’un coup surgissent les policiers qui aussitôt lui demande sa carte d’identité, BASEKE s’exécute facilement. Mais étrangement, sans crié garde ces policiers changent de ton et d’attitude. Ils reprochent à BASEKE d’avoir cassé la porte d’entrée, ce qui selon eux est une effraction.

ALHONGO intervient pour leur dire que s’ils peuvent  produire le  titre de propriété du nouveau propriétaire ainsi que le jugement d’expulsion du juge de Paix qui est seul compétent pour prendre une telle décision en la matière, lui et BASEKE quitteront sans condition l’appartement sur le champ.

Piqué au vif par cette réponse inattendue qui les laissent sans voix, le ton change. A la demande de la carte d’identité succèdent des intimidations et gestes agressifs accompagnés des injures : « sale nègre, rentrez chez vous que venez vous faire ici… ».Mais calmement et sereinement BASEKE ayant compris qu’il avait affaire à des « ripoux » leur répond « c’est moi le propriétaire de cet appartement et c’est vous qui allez en sortir ».

Les policiers sortent alors le gros attirail de gaz lacrymogène et l’actionnent dans la direction des yeux de BASEKE et d’ALHONGO. Rapidement la maison en est pleine et nos deux frères suffoquent au point qu’ALHONGO à la recherche d’air saute par la fenêtre depuis le 3éme étage jusqu’au rez de chaussée.

BASEKE malheureusement ne peut en faire autant et reste coincé dans l’appartement où les policiers en profitent pour le passer à tabac alors qu’il était depuis le début conciliant et coopérant. Les « au secours » qui lancent relayés par ceux d’ALHONGO depuis le rez de chaussée, finissent par attirer l’attention des voisins. Et l’occupant de l’appartement du rez de chaussée le fait entrer afin de lui apporter de l’aide. ALHONGO lui demande d’appeler la Police pour venir arrêter les « ripoux » qui tabassent BASEKE dans sa propre maison. Malheureusement l’appel est intercepté par une autre équipe de la même  ZONE DE POLICE, celle  DE SAINT JOSSE qui du reste envoi du renfort plutôt à la demande de leurs collègues agresseurs de BASEKE et d’ALHONGO.   

ALHONGO voulant aller aux nouvelles de BASEKE après s’être essuyé les yeux et le visage de chez son bienfaiteur, se dirigea vers les policiers venus en renfort : Ils le plaquèrent violemment contre terre par une prise de judo avec étranglement comme s’il représentait un quelconque danger pour leur sécurité. ALHONGO sera roué des coups de genou, de pied en l’insultant : « SALE NEGRE » Mais courageusement malgré la souffrance ALHONGO continuait à alerter les gens qui suivaient la scène depuis leur fenêtres d’appartement : « VOUS ENTENDEZ ILS M INSULTES SALE NEGRE »

Très choqués et scandalisés de voir se produire encore aujourd’hui de telle scène en plein Bruxelles, des témoins oculaires se sont proposés d’eux-mêmes pour venir déposer devant le tribunal afin que tous ces « ripoux » et leurs commanditaires soient exemplairement sanctionnés par la justice car c’est inadmissible.

Le calvaire d’ALHONGO durera tout le chemin de l’avenue du progrès jusqu’au bureau de la Police locale de saint Josse située juste derrière le jardin botanique, près de la gare du Nord. Arrivé au poste de police, d’autres policiers trouvés sur place se jetteront sur lui pour en rajouter encore avec des insultes racistes en sus : «  Sales nègres chez vous au Congo on vous aurez déjà logé une balle dans la tête... »

En vrai combattant que nous le connaissons ALHONGO ne se laissa pas intimider, il leur cracher la vérité qu’ils savent tous mais qu’ils se forcent à faire semblant d’ignoré mais pour combien de temps encore ? «  Nous congolais allons tous rapidement rentrer dans notre beau et riche Congo, tout belge profiteur y sera chassé avec un coup de pied au cul…nous n’avons plus besoin de la Belgique mais c’est la Belgique qui a besoin de notre Congo… »

Ils sont tous devenus gênés amis plus  un parmi eux qui avait été par la passé au Congo car il s’agit plus jamais un congolais ne fera de complexe d’infériorité  vis-à-vis d’un belge comme à la belle époque où il y était.

C’est à ce moment là que ALHONGO voit surgit BASEKE. Ce dernier bien que  menotté il est roué des coups par les policiers qui se trouvaient sur place au poste. ALHONGO intervient à nouveau en interpellant ces policiers ( ?) sur la fragile santé de BASEKE Daniel et demande avec insistance que Daniel soit conduit immédiatement à l’hôpital pour y être soigné. Finalement Daniel sera conduit à l’hôpital en premier puis suivi d’ALHONGO. Ce dernier exigea que les menottes lui soient d’abord enlevées avant que le médecin ne l’examine malgré le refus initial des policiers. Ce qui rencontra aussi l’assentiment du médecin. Les « ripoux » durent céder !
De retour au poste de police, BASEKE et ALHONGO  seront tous deux jetés de nouveau au cachot avant d’être entendu sur procès verbal vers 3 heures 30’. L’audition d’ALHONGO commença directement par des intimidations pour le déstabiliser mais vous pensez que notre gaillard ne se laissera pas facilement démonter par le premier venu. C’est ainsi qu’ayant remarqué certains termes employés n’étant pas conformes à ses déclarations, il a refusé de signer et je dis qu’il a très bien fait. C’est ainsi qu’aucune copie ne lui fut remise. ALHONGO sera relâché avec interdiction de ne plus mettre ses pieds dans l’appartement de BASEKE.
Quant à BASEKE il sera conduit au palis de justice pour être entendu par un juge. Il sera en suite placé dans un cachot au Palais de la justice pour être entendu par un juge puis relâché vers 18heures. 
ATTENTION DECISION TRES IMPORTANTE POUR LA SUITE  DES EVENEMENTS :
Le juge a dit à BASEKE : « Monsieur BASEKE rentrez au n°41 rue du Progrès dans la commune de saint Josse au 3éme étage car c’est votre appartement. Il ne pèse aucune charge contre vous et il n’y a jamais eu jusqu’ici une autre personne avec un titre de propriété pour cet appartement en dehors de vous ! » I...N...I…M…A…G…I…N…A…B…L…E ! Alors pourquoi cette violence gratuite contre des paisibles et respectueux congolais ? Réponse : C’est pour tenter de récupérer et de faire disparaître deux chèques bancaires se trouvant chez BASEKE dont :

-          Le premier de 1.342.807 BEF,- de la PRIVATE KAS BANK  portant le numéro de série 1505699 du compte 630-0237018-09 émis le 11.09.2001 par l’avocat faussaire Maître LEBOEUF  LAMB, 60 MarsveldPlein ,2  1050 BRUXELLES ;

-          Le deuxième de 79,287 BEF de la GENERALI WORLDWIDE portant le numéro de série 256315379 du client numéro n°11005. 
Ces deux chèques sont des preuves accablantes contre la fictive organisation internationale criminelle « CDI/CDE » qu’a pondu Monsieur Louis Michel pour escroquer plus de 300 Million d’euros à nous tous contribuables européens et préjudiciés les pays membres d’ACP (Afrique – Caraïbe  – Pacifique). Ces chèques conduiront Louis Michel directement en prison mettant fin au passage à une carrière politique faite que des fourberies, mensonges et petitesse d'esprit. Bien qu’ils aient littéralement pillé l’appartement de BASEKE, 98 % des documents sont en lieu sur que même l’élimination physique potentielle (que ni BASEKE ni ALHONGO Ni MARIYUS NOKO ne craignons) n’empêcherait pas la vérité d’éclater en plein jour et les criminels d’être coffrés. Qu’on se le dise !
Qui est derrière tout cela ? 

Je le dis et le confirme avec preuves à vous tous mais aussi au concerné principal : 
C'est Louis Michel, l’imposteur de commissaire européen qui en est l'homme orchestre. Celui qui tire toutes les ficelles car trop lâche pour jouer à visage découvert. VOIR mon blog : http://congogate.over-blog.net  sur A propos de ma Mise en demeure sur Louis Michel.
QU’ALLONS-NOUS FAIRE MAINTENANT DANS LES JOURS QUI VIENNENT ? 

BASEKE et ALHONGO ET BASEKE ont promis à ces « ripoux » racistes qu’une fois sortis du cachot, ils déposeront plainte devant la justice. Je demande à toute personne, principalement à tous les congolais et à toutes les  congolaises de se constituer partie civile dans cette affaire.  LEVONS NOUS TOUS POUR METTRE UN TERME  A LA NUISANCE  DE LOUIS MICHEL ET SON RGANISATION CRIMINELLE  « CDI/CDE ». Exigeons la réforme sur la composition des effectifs des agents de police dans les commissariats afin d’anticiper sur de tels abus. J’estime que la présence des policiers d’origine étrangère selon un quota y devient une nécessité. La moralité et la discipline doivent y être renforcées. Il faut  « chasser » les ripoux de tous les commissariats de police pour en redorer l’image. Sinon nous allons au devant de l’insurrection populaire jamais connue depuis la fin de la deuxième guerre mondiale depuis Bruxelles. Cela ne peut plus continuer ainsi, chacun doit prendre ses responsabilités et en assumer toutes les conséquences maintenant…je montre l’exemple en premier  n’ayez aucune crainte !

Je donne ma vie pour vous tous car je veux que vous soyez tous libre comme je le suis !

Monsieur Mariyus NOKO NGELE
http://congogate.over-blog.net

 

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