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13 août 2008 3 13 /08 /août /2008 13:16

Monsieur Mariyus NOKO NGELE

Quai de Batelage 5/pour 182 B – 1000 Bruxelles                                             Le 12/08/2008

Lettre déposée à L’Elysée avec Accusé de Réception.

Concerne :

-         Dénonciation des Fraudes de Monsieur Louis Michel & Cie aux intérêts de la France, de l’UE et du partenariat ACP-UE en tant que Commissaire européen.

-         Appel à votre intervention suite à une tentative d’assassinat d’un témoin gênant.

Objet :

-         Demande de Constat des NULLITES  et les sanctionner.

-         Protéger les victimes.

A Monsieur Nicolas SARKOZY,

Président en exercice de l’Union Européenne  et de la  Conférence des Chefs d’Etats ACP-CE

 Palais de l’Elysée 55, rue du Faubourg Saint-honoré  - 75008 Paris 

 

 

Monsieur le Président de la République,

Les faits que  je vous confirme par la présente et dont parlent les parlementaires européens et les Membres de l’Assemblée paritaire ACP-UE sont effectivement sans commune mesure avec le précédant ayant opposé Madame Edith Cresson et la commission devant la justice européenne. 

La présente affaire est d’une telle gravité touchant directement  aux  intérêts financiers de la République française et de ses institutions, des Communautés européennes  et du partenariat ACP UE, que votre intervention personnelle en tant que Président en exercice de l’Union européenne et de la Conférence des Chefs d’Etats ACP-CE  s’impose pour faire cesser les voies de fait.  D’autant plus que Monsieur Louis Michel et ses complices  Koos Richelle, Carlos Costa ,  César Deben, Gauthier Philippe, Christian Claudon  ,  Delchambre  Jean Marie  et C°  tentent de compromettre la République française sous votre présidence dans cette  effroyable  affaire d’EMPLOIS  INTERNATIONAUX FICTIFS

A.  Pour devenir Commissaire européen, Monsieur Louis Michel a MENTI en dissimulant l’inculpation pénale dont il fait l’objet jusqu’à ce jour dans l’affaires BASEKE BOTIKALA contre LOUIS MICHEL  et X  pendante    sous les   références    Réf du dossier 94/04 PG 19/02  BR 20/99 26 88/04 et  BR 45 LL 120 555/03 des chefs d’accusation de:

1. faux et usage de faux ;  

2. Atteintes aux relations internationales ;  

3. Violation de la Constitution et abus de confiance ;  

4. Attribution  de fausses qualités et faux documents diplomatiques ;  

5. Violation de l’Accord de Siège du  29.11.1978 entre le Royaume de Belgique et le CDI ;  

6. Violation  des Conventions européennes protégeant les intérêts financiers de l’UE. ;  

7. Non-assistance à personnes en danger en ce compris à enfants mineurs  d’âge ;  

8. Outrages et traitements inhumains et dégradants ;  

9 Dénonciation calomnieuse et entrave à la  justice  »

 

  Le 21-10-2004 à 14 : 37, Monsieur BASEKE BOTIKALA en avait informé par fax Monsieur BARROSO, Président de la Commission européenne qui en accusa  réception.

B. Cependant au moment d’examiner la candidature de Monsieur Louis Michel, Monsieur BARROSO avec connaissance et intention que le pénal tient le civil en l’état, s’est abstenu de signaler à qui de droit, la dissimulation  de l’inculpation pénale de Monsieur Louis Michel, viciant le consentement de l’assemblée délibérante qui,  si elle était au courant des faits exacts, n’aurait jamais approuvé la nomination de  Monsieur Louis Michel au poste de commissaire européen  pour conflit d’intérêts : Il y a donc eu Dol, c’est-à-dire que la nomination de Monsieur Louis Michel doit être regardée  comme un ACTE JURIDIQUEMENT NUL, réputé n’avoir jamais produit d’effet juridique.

C.  Monsieur BARROSO, en nommant Monsieur Louis Michel aux fonctions de Commissaire européen alors qu’il le savait INELIGIBLE et que son acte de candidature était entaché de NULLITE ABSOLUE pour cause de dol, a créé un EMPLOI INTERNATIONAL FICTIF de Commissaire européen, en violation des dispositions du traité réglant le comportement  du Président et des membres du Collège que la même Commission a soulevé devant la justice européenne contre Madame Edith Cresson, ancien Premier Ministre français.  Monsieur BARROSO en violant si gravement son serment d’assurer la défense des intérêts des Communautés européennes en dehors de toute autre considération, est sensé être DEMISSIONNAIRE D’OFFICE selon les dispositions expresse du traité CE qui règlent   cette matière.

 

D. Je vous confirme, et Monsieur Louis Michel qui me lit  en copie en guise de mise en demeure sous huitaine ne me contredira pas, que tous les renseignements communiqués au Parlement européen par Monsieur Louis Michel au nom de la Commission en tant que collège le 27 septembre 2005, en réponse  à la Question Ecrite E 2889/05  de Monsieur l’Euro Député Paul VAN BUITENEN,   dont parlent   les membres du Parlement européen et de l’Assemblée paritaire ACP-CE sont FAUX. Ils relèvent de la prévention  de FAUX INTELLECTUEL,  visée par les lois pénales  et   les dispositions anti-fraudes  de l’Union européenne et de l’OCDE. A titre d’exemple :

 

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que l’Accord de Cotonou n’a jamais pu entrer en vigueur le 1er Mars 2000 alors qu’il n’était  encore ni signé ni ratifié.

-         Monsieur Louis Michel ne peut non plus contester que le « CDI/CDE » dans le cadre duquel il a délivré des « Vrais-Faux » Passeports Diplomatiques le 26 février 2003 à MATOS ROSA & Cie alors qu’il les savait INCULPES  depuis le 08 Novembre 2001 dans le cadre du dossier N°208/01 du Tribunal de première instance de Bruxelles, n’a JAMAIS existé dans le traités ACP-UE  , constituant effectivement une organisation INTERNATIONALE FICTIVE criminelle ainsi que le lui faisait  remarquer   le Député belge Vincent DECROLY par courrier VD02- 006/ VD01-086 du 19 Mars 2000 (Réf de Louis Michel A72/L22/GEN/JUD).

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que  les affirmations écrites du Ministère belge de la justice depuis 2002 et du Président de la Chambre des Représentants belges depuis 2007, que le seul  Accord de siège à ce jour signé par la Belgique dans le cadre des accords de partenariats ACP- CE, est celui signé le 29/11/1978 entre la Belgique et le CDI, approuvé par les Chambres législatives belges  par la loi   du  9 février 1981, parue  au Moniteur Belge le 31 Mars 1981. Et qu’il n’existe pas en droit belge d’entités juridiques dénommées « CDI/CDE » n ou   « CDE ».

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que depuis 1995, aucun AVIS de VACANCE de poste n’a  jamais  été publié dans le cadre de l’organigramme  légal  du CDI en vue de la succession de Monsieur Paul Frix et de Monsieur SHARMA comme Directeur et Directeur-adjoint

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester  que   depuis le départ du Directeur Paul Frix et de son épouse de l’Hôtel Diplomatique « Le Rouge cloître » le 30 avril 1995, après avoir remis les clés de ses bureaux et les dossiers de la DECHARGE de sa GESTION à Monsieur AGK MBAYI, P orte  Parole, Chargé des Relations Extérieures et de la Communication, Liaison officer ACPLCE   du CDI depuis  1992,  ce dernier est devenu, de plus, DIRECTEUR INTERIMAIRE par obligation légale du CDI au sens de l’article 19 de la Convention de Vienne sur les relations Diplomatiques

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester qu’à ce jour ni le Directeur Paul Frix ni le Conseil d’Administration paritaire Andrews-Salmon n’ont encore obtenu la DECHARGE de leurs GESTIONS  FINANCIERES   pour la période 1990 à 1995, alors qu’il est d’ordre public que le compte tient  de l’essence du Mandat !

-         Monsieur  Louis Michel ne peut contester   que  depuis 1995 l’organigramme légal du CDI n’a jamais été réformé et que tous les renseignements fournis sur Internet   et actuellement visibles   le site web   pirate   www.cde.be sont des FAUX INTELLECTUELS  et relèvent de la criminalité financière  transnationale  organisée et de la délinquance en faux col blanc dans la fonction publique internationale depuis BRUXELLES depuis le coup de force du  28 avril 1995  contre le Directeur Paul FRIX, et  l’ensemble des Etats et instances ACP/CE

-         Monsieur Louis Michel ne peut   non plus contester  que  les membres de  ce faux « CDI », faux « CDE » ou « CDI/CDE » utilisent sans aucune base légale l’Accord de siège du CDI, les avoirs, le siège, les accords de coopérations avec les institutions françaises entre autre, et ce depuis 1995 dans le cadre d’un organigramme parallèle

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester qu’aucun AVIS de VACANCE  de poste n’ayant été publié depuis le départ de Monsieur Paul Frix, dans le contexte de l’organigramme légal du CDI,   la manœuvre visant à « soi-disant » recruter, par le cabinet de recrutement AfricSearch  sise 17, rue du Colisée à Paris 75008 info@africserach.com ,  un prétendu successeur  à Monsieur SOW AHMED  dans le contexte d’un organigramme parallèle   est une nouvelle tentative d’escroquerie et d’atteinte aux intérêts de la France, des communautés européennes et des Etats ACP.

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que les emplois attribués à Messieurs SHARMA, MATOS ROSA, SOW AHMED et CLAUDON    Christian en toute illégalité   sont JURIDIQUEMENT FICTIFS.

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que  les emplois de Président du Conseil d’Administration attribués à Messieurs  Alméida de MATOS, Sarris et Philippe GAUTIER   soit disant à la tête  d’un CDI ; d’un CDI/CDE  ou  d’un   CDE  évoqués dans le  dossier parallèle  gérés par  son administré  Amadou TRAORE après César DEBEN  sont juridiquement FICTIFS  ;

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que c’est sans la moindre base légale que  des Fonds publics prévus dans les Conventions de LOME pour le CDI, et de Cotonou pour le vrai CDE sont détournés depuis le coup de force du 28 avril 1995 contre le Directeur Paul Frix, vers les membres d’une association des malfaiteurs spécialisés en crime organisé jusqu’à ce jour en toute impunité couverte  par lui-même, Louis Michel.

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que ce sont ces « envahisseurs- fonctionnaires internationaux fictifs » qui détournement depuis Mai 1995 l’ensemble des accords de coopération entre le CDI, la France et ses institutions en se servant d’un organigramme parallèle

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que depuis le 07 septembre 1998, l’actuel Vice-président de BEI (Banque européenne d’investissements),  Monsieur  Carlos COSTA   et César DEBEN   à l’époque, Chef d’unité secteur privé et Représentant de la Commission au sein du Comité de Coopération  Industrielle ACP-UE, dissimulent  à l’OLAF et aux parties contractantes les dossiers Anti - fraudes reçus de Monsieur AGK MBAYI au sujet de toute la généalogie de cette affaire.

-         Monsieur Louis Michel ne peut contester que c’est pour étouffer cette affaire qu’il a prévu, avec  la  complicité   de certains magistrats, juges et policiers, d’attenter à la vie de Monsieur AGK MBAYI dans le cadre du dossier ABSSALAM pour lequel je vous communiquerais   les éléments.  L’autre témoin gênant BASEKE BOTIKALA se trouve actuellement incarcéré  dans des conditions litigieuses impliquant Monsieur Louis Michel et  ses complices.

 

Eu égard à  la gravité de tout ce qui précède avec risque de mort d’hommes, je demande à votre honneur de prendre les mesures urgentes qui s’imposent.

 

 

 

 

 

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